Victoria Charlton nous raconte l’histoire fascinante de Boris Kipriyanovich; L’enfant qui disait venir de Mars.
Né le 11 janvier 1996 à Volgograd, en Russie, Boris Kipriyanovich, surnommé Boriska, a très tôt suscité la fascination de ses proches et des chercheurs. Dès les premières semaines de sa vie, sa mère, Nadia – médecin de profession – remarque chez lui des capacités étonnantes. Il tient sa tête dès l’âge de quinze jours, parle à quelques mois, lit, peint, écrit et dessine avant même ses deux ans. Un enfant surdoué, certes, mais ce n’est que le début d’une histoire bien plus mystérieuse.
Car dès son plus jeune âge, Boris commence à parler avec conviction… de la planète Mars. Il affirme y avoir vécu dans une vie antérieure, appartenant à une civilisation avancée qui aurait été presque entièrement détruite par une guerre nucléaire. Selon lui, les Martiens mesuraient environ deux mètres de haut, vivaient sous la surface de la planète et respiraient du dioxyde de carbone. Leur espérance de vie? Immortels jusqu’à 35 ans, âge auquel ils cesseraient de vieillir.
Ce qui intrigue ses parents, c’est qu’ils n’avaient jamais abordé ces sujets avec lui. À cet âge, Boris n’avait pas encore été exposé à des livres scientifiques ni à des films de science-fiction. Pourtant, il parlait du système solaire avec une précision troublante, dessinait les planètes à l’échelle, et décrivait des technologies spatiales avancées comme s’il les avait vues de ses propres yeux.
Une vidéo, toujours visible sur YouTube, montre Boris, alors âgé de sept ans, expliquant devant une journaliste russe, à l’aide d’une traductrice, comment il voyait les planètes depuis un vaisseau spatial martien. Ce témoignage, aussi invraisemblable qu’il puisse paraître, attire rapidement l’attention du public, des médias et même de certains scientifiques.
Parmi eux, le Dr John Braden, astrophysicien reconnu, note des similitudes frappantes entre les déclarations de Boris et certaines théories modernes sur la possibilité d'une vie ancienne sur Mars. Bien qu’aucune preuve concrète n’ait jamais validé les affirmations de l’enfant, l’intérêt pour son histoire ne cesse de croître.
Mais l’aspect le plus étonnant de son récit reste sans doute celui lié à l’Égypte ancienne, et plus précisément au Sphinx de Gizeh. Boris affirme qu’un grand changement se produira sur Terre lorsque le Sphinx sera "déverrouillé". Selon lui, une mécanisme caché derrière l’oreille du Sphinx dissimulerait un passage ou un secret capable de transformer l’humanité. Ce détail, étrangement précis, a récemment trouvé un écho lorsqu’une anomalie structurelle a été détectée à cet endroit du monument par des chercheurs.
Aujourd’hui, en 2025, Boris est dans la trentaine. Loin des projecteurs, il ne cherche ni à justifier ses propos ni à les renier. Il maintient, sobrement, qu’il croit toujours venir de Mars. Ce silence volontaire alimente encore davantage le mystère : s’il avait menti ou inventé toute cette histoire, pourquoi persister sans chercher la gloire ?
L’histoire de Boris Kipriyanovich demeure à ce jour un phénomène international, mêlant science, spiritualité, vie extraterrestre et mythes anciens. Elle divise les esprits : entre croyance fascinée et scepticisme rationnel, elle pousse chacun à s’interroger sur les limites de la mémoire humaine, de la conscience, et peut-être… sur les mystères enfouis de notre propre planète.
Suivez Victoria Charlton sur sa chaîne YouTube pour plus de détails sur cette histoire et ne manquez pas son passage dans les Lève-Tôt chaque mardi, vers 8h10