Dans le vestiaire | Transitions et ambitions : Les défis du Canadien de Montréal

Les Canadiens (15-11-3) rendent visite aux Penguins (14-7-7), jeudi soir, à Pittsburgh. Fraîchement rappelé de Laval, le gardien espoir Jacob Fowler fera ses débuts dans la LNH. «Ken Dryden en 1971, Patrick Roy en 1985, et Carey Price, après, ont tous commencé leur carrière dans la Ligue nationale en jouant contre les Penguins de Pittsburgh et ils ont tous gagné [...] C'est un beau hasard, n'est-ce pas?» -Martin McGuire Une occasion en or pour Owen Beck  La position de centre représente un sujet de discussion depuis le début de la saison chez le Tricolore. L’absence de Jake Evans permet l’entrée de Owen Beck dans l’alignement. Sera-t-il en mesure de combler l’absence d'Evans retenu à la maison pour des raisons personnelles? Comme le numéro 71 est méconnaissable depuis le début de la saison, l’arrivée de Beck sera sous haute surveillance de la part des entraîneurs. Arber Xhekaj cède sa place La gestion de la rondelle et le marquage homme pour homme sont au cœur des problèmes de l’équipe depuis quelques semaines. Le défenseur Adam Engstrom représente la stabilité. Rien de spectaculaire, mais certainement efficace là où le CH en a besoin.  Arber Xhekaj sera laissé de côté.    

Onde de choc en fin de soirée, mardi, lorsque la direction des Canadiens a procédé aux rappels du gardien Jacob Fowler, de l'attaquant Owen Beck et du défenseur Adam Engstrom. De plus, l'attaquant Jake Evans a raté l'entraînement matinal et il ratera le match à Pittsburgh, jeudi. La formation a annoncé qu'il s'absentait pour des raisons personnelles, mais Luc Gelinas, du Réseau des Sports, a affirmé qu'Evans est parti rencontrer un médecin en Pennsylvanie pour investiguer une blessure à un pied. Voici l'essentiels des échos de vestiaire avant le départ de Pittsburgh avec les commentaires de Martin St-Louis, Mike Matheson, Brendan Gallagher et Owen Beck

Sébastien Benoît anime Rythme FM en plus d'être un peu partout dans votre télé, à la barre de Chanteurs masqués ou encore de La Poule, et continue de visiter des restaurants pour Coups de food. Pour gérer son emploi du temps et les attentes élevées de ses différentes fonctions, il utilise une méthode simple qu'il appelle la compartimentation mentale. Au-delà de son travail, Sébastien Benoît est un ardent partisan des Canadiens. Il suit attentivement les parties de l'équipe, ce qui lui permet de s'amuser et de décompresser, même si l'équipe le rend «tellement émotif» qu'il lui arrive «d'hurler» devant sa télévision. «Mon fils ne joue pas, mais il aime regarder les matchs. On écoute le hockey en famille [...] Des fois, j'insulte ma télévision [...] Je suis complètement hystérique, ça n'a aucun sens. Je suis en transe quand j'écoute les Canadiens.» Autres sujets abordés: Le défi de la gestion de l'anxiété de performance de son jeune fils qui joue au soccer compétitif; L'origine familiale de sa passion pour le hockey, son grand-père ayant déjà eu un billet à côté du banc des joueurs.