En 1968, un forain du Minnesota (É.-U.) exhibe sa toute nouvelle acquisition : un homme préhistorique conservé dans un bloc de glace. L’affaire fait sourire et les curieux ― qui déboursent quelques cents pour voir l’attraction ― sont mitigés. Si la plupart croient à une supercherie, d’autres restent indécis. Après tout, ce ne serait pas la première fois que l’un de ces freak shows présente des aberrations de la nature. Les enfants loups, la femme à barbe, ou l’homme-éléphant n’étaient-ils pas tous des curiosités 100% véritables ? Alors, pourquoi pas un homme préhistorique congelé ? L’affaire prend des dimensions nationales lorsque deux zoologues réputés affirment haut et fort ― après examen ― que l’homme congelé est authentique.
Pour les parapsychologues, les phénomènes de poltergeist sont parmi les plus intéressants. Ils se caractérisent par des manifestations spontanées, bruyantes et parfois… destructives : coups frappés dans les murs, meubles qui bougent tout seuls, vases lancés contre les murs, etc. Ces phénomènes sont rarement associés à des apparitions ou à des « comportements intelligents », mais il y a des exceptions. Dans les années 1970, deux histoires de poltergeist atypiques ont alimenté la controverse : ceux du village de La Machine, en France, et celui d’Enfield, un quartier populaire de Londres, en Angleterre. Encore aujourd’hui, ces cas figurent parmi les plus déroutants de l’histoire de la parapsychologie.
Dans la littérature sur les phénomènes étranges, il y a un groupe d’anomalies regroupées sous le vocable de UGM, pour « Unexplained Ground Markings », un acronyme que nous pourrions traduire par « marques inexpliquées sur le sol ». Comme le nom l’indique, il s’agit d’empreintes mystérieuses qui défient les explications rationnelles. Les amateurs de mystères les associent volontiers à des êtres fabuleux, des extraterrestres au diable, en passant par les fées et les farfadets. Objectivement, ces empreintes posent un sérieux défi à la science puisque leur interprétation repose essentiellement sur les spéculations proposées par les enquêteurs. Le « coupable » n’est jamais vu…Anomalies naturelles ou manifestations surnaturelles ?
En janvier 1988, en Georgie (États-Unis), deux adolescentes mettent les voiles d'un centre d'aide pour jeunes aux prises avec des problèmes graves. Teresa Simmons, 15 ans, et Malissa Earnest, 17 ans, comptent se rendre en Californie. Malheureusement, leur route croise bientôt celle d'un groupe de jeunes satanistes de Douglasville (Georgie). Quelques jours plus tard, le groupe ― incluant Malissa Earnest, une nouvelle adepte ― organise et exécute un sacrifice humain. L'offrande : Teresa Simmons. Ce crime va révéler au grand jour une communauté d'adorateurs du diable et leurs rituels aussi sanglants que macabres.