« J’ai trouver que l’arbitrage était bon, j’aime ça qu’on laisse les joueurs jouer un peu plus» - Yanni Gourde « Selon moi, c’est le meilleur joueur de l’équipe Canada dans le championnat IIHF. » - Bruno Gervais « On est en bonne santé et on est en forme. On est prêt à aller chercher la Coupe Memorial » - Simon Gagné Stéphane Leroux met la table pour la Coupe Memorial
Mario Langlois reçoit deux figures du monde du baseball professionnel : Alex Agostino, dépisteur des Phillies de Philadelphie, et Jasmin Roy, dépisteur pour les Blue Jays de Toronto.
Alex Agostino partage son admiration pour les Jays, malgré son attachement aux Phillies : « Mon cœur reste avec les Phillies, mais je suis au Québec, les Jays font vibrer le pays. » Il souligne la discipline offensive de Toronto. Et au sujet de Vladimir Guerrero Jr., Agostino rapporte qu’il vient de valider son lucratif contrat à 100%.
Jasmin Roy, lui, salue l’esprit d’équipe des Jays :
« Tout le monde a contribué hier : chacun un coup sûr dans le match 7. C’est ça les Jays, tout le monde contribue. » De plus, il ne tarit pas d’éloges sur Vlad Jr. Ses performances en 2025-26 le cimente véritablement au sommet de la pyramide du baseball majeur.
Et va jusqu’à affirmer : « S’il y a une équipe qui peut tenir tête aux Dodgers de LA, c’est bien les Blue Jays!»
Tony Marinaro partage ses réflexions franches sur le début de saison du Canadien de Montréal. S’il sait qu’il n’y aura qu’un seul gagnant de la Coupe Stanley, il insiste sur l’importance d’offrir un bon spectacle aux partisans — et selon lui, c’est exactement ce qu’on a eu au Centre Bell :
« On a eu un aperçu des dix prochaines années avec Lane Hutson et Ivan Demidov hier. »
Il souligne aussi la performance exceptionnelle de Nick Suzuki, meilleur pointeur de la LNH depuis la Compétition des 4 Nations (47 points), tout en lui lançant un petit défi :
Autre source d’enthousiasme : Juraj Slafkovsky, qui connaît un excellent début de saison. Il mène l’équipe pour les chances de marquer dans l’enclave et les mises en échec à 5 contre 5. Mario Langlois le compare d’ailleurs à une force physique dominante :
« Le Rob Gronkowski des Canadiens de Montréal. »
Alors que Jakub Dobes obtient le départ contre les Sabres de Buffalo, Stéphane Waite met les choses au clair : « Il ne faut pas partir une controverse avec ça ». L'ancien entraîneur des gardiens revient sur le début de saison de Samuel Montembeault, qu’il juge meilleur que ne le laissent croire ses statistiques. « En quatre matchs, il a laissé passer seulement un mauvais but », souligne-t-il, ajoutant que le blâme ne devrait pas reposer uniquement sur les épaules du gardien.
Jasmin Roy, dépisteur des Blue Jays de Toronto, partage ses observations sur les séries éliminatoires chez son club, qui se retrouve à une victoire seulement de la Série Mondiale. Il salue la maturité impressionnante du jeune lanceur Trey Yesavage, qui gère la pression comme un vétéran à seulement 22 ans. Roy revient aussi sur le parcours inspirant de Shane Bieber, une acquisition clé à la date limite des transactions. Vladimir Guerrero Jr. vole également la vedette avec des statistiques impressionnantes en séries, rejoignant les légendes Bautista et Carter. Et que dire des Dodgers, toujours aussi redoutables? Roy croit toutefois aux chances des Jays... s’ils maintiennent ce niveau de jeu.
Écoutez le chanteur et rockeur Éric Lapointe à Ça sent la coupe, le vendredi 17 octobre, aux Amateurs de sports.
Éric Lapointe se confie comme rarement auparavant au micro de Mario Langlois: «Je performe comme j’ai jamais performé...»
Il parle de son nouveau documentaire, brut et sans filtre, dans lequel il souhaitait montrer l’envers du décor.
Passionné de hockey, Éric a joué au centre jusqu’à 40 ans. Il évoque aussi son amour pour le sport en général — le golf (malgré un niveau discutable!), le baseball, et surtout la boxe, qu’il pratique 3 à 4 fois par semaine pour garder l’équilibre. Il y voit d’ailleurs un parallèle entre le ring et la scène.
Aujourd’hui, ses enfants sont au cœur de sa vie. Ils ont été un déclencheur important dans sa transformation personnelle : «Voir sourire mes enfants, ça fait ma journée.»
Anecdotes marquantes au menu : son saut en parachute avec Mario Langlois, qu’il compare à monter sur scène — «Tu peux pas reculer» —, et un party mémorable chez Daniel Brière, terminé dans le coffre d’une voiture avec Max Talbot!
«Je vais pas chanter pour le monde, je vais chanter avec le monde.» Voilà tout l’esprit de l’homme qui, malgré ses zones d’ombre, reste profondément humain. «Les gens m’aiment… ou me détestent à mourir.»
Et pour conclure, en bon fan de hockey: «Je ne sais pas si ça sent la Coupe… mais ça sent vraiment bon!»