Je commence l'épisode en traitant ma fidèle acolyte et gérante Laurence de "chien de garde" ainsi que de "jolie chienne wouf wouf" et elle n'est pas certaine si c'est un compliment, étant donnée ma relation conflictuelle avec les chiens en général. Dans mon récit de la dernière semaine, j'établis une corrélation entre ma carrière et le bordel dans ma maison alors que mes SPM m'ont poussée dans une rage de ménage incontrôlable. Je raconte ensuite mon rendez-vous chez mon médecin qui me pose chaque fois des questions sur les ITS qui me font inévitablement avoir un tout petit doute sur de possibles activités extra-conjugales chez mon partenaire, ce qui nous amène à nous poser la question suivante: est-ce qu'on doit le dire à son partenaire quand on le trompe? Dans sa chronique bébé, Laurence nous annonce que son fils Roméo est enfin capable de sortir de son lit tout seul le matin...mais il le fait à 5H20 du matin en étant très (trop?) de bonne humeur, surtout depuis qu'il capote sur le hit de l'heure qui horripile Laurence: la chanson du camion de poubelle magique. Dans sa chronique voiture, elle parle de la van qu'elle vient d'acheter pour sa petite famille, mais surtout pour son chien Woofy, et elle se targue d'avoir été une excellente business woman en se négociant un excellent deal. Ensemble on se demande jusqu'à quel âge c'est correct de prendre son bain avec son enfant et si on est bien sûrs et certains que les voitures électriques ne sont pas pires que les voitures à essence. Puis on répond aux traditionnelles questions du public et cette fois, on fait un petit détour plus sérieux pour parler de la démence chez un parent. Et on ramène le bon vieux Serge Sergerie pour terminer sur une note toute légère.
Dans ma semaine
Je pleure du sang dans ma culotte
Publié le 29 août 2024
Avec
- Léa Stréliski
Derniers épisodes
Pour notre premier anniversaire de couple-professionnel-platonique, Laurence et moi débutons cet épisode en parlant de nos différences marquées pour la période estivale que j'estime « rough » et qu'elle trouve, de son côté, absolument magique. (C'est dur nos vies!) Nous revenons ensuite sur les balbutiements de notre relation, qui sont complètement basés sur notre physique. Alors que je commence à ressentir les méandres de ma job d'été très matinale, je raconte ma date avec mon mari à l'épicerie (notre seul moment qu'il nous reste). Laurence revient sur ce qu'elle avoue être SA date idéale, soit une soirée aux galeries d'Anjou, et nous confie s'être rendue à l'urgence cette semaine, puisque son fils de 2 ans a mis sa main sur le BBQ. L'épisode se termine avec la période de questions qui d'ailleurs, nous remet à notre place sur un moyen temps.
Je suis toujours au beau milieu de mon marathon d'animation de radio très, très matinale qui m'a transformée en lève-très-très-tôt, mais ce n'est rien pour m'empêcher de vous offrir un autre savoureux épisode avec mon incroyable gérante et fidèle acolyte Laurence Godcharles. Je vous parle d'une soirée avec ma belle-famille qui m'a fait réaliser qu'à cause de mon âge avancé combiné à mon réveil aux petites heures du matin, je ne peux plus me permettre de m'amuser le soir en buvant un mojito sans en subir les conséquences lorsque je me réveille à 3H45 du matin. Laurence se confie à propos de son stress causé par les meetings et les courriels « non-cessants ». Je raconte que mon fils a passé la semaine en mode Moyen-Âge au Camp de vacances Bicolline et qu'il a laissé son petit frère lui raser la tête, ce qui s'est beaucoup mieux passé que vous ne pourriez le croire et ce qui m'a permis de retrouver son tout petit crâne un peu aplati duquel je m'ennuyais profondément. Ça nous amène à discuter de l'absurdité des plans de naissance que personne ne suit, selon nous. Durant sa semaine, Laurence a été invitée à une autre fête d'enfants, mais cette fois, elle n'avait aucune envie de se forcer pour interagir avec les autres parents. On échange nos opinions sur LE sujet de l'heure : le documentaire sur Céline Dion. Puis Laurence décrit son expérience de massothérapie au Spa Ovarium. Finalement on répond à vos questions à propos notamment du goût du ketchup.
C'est encore une fois habitée par la joie non-ironique de me réveiller à 3H45 du matin que je me retrouve accompagnée de ma gérante et chien de garde Laurence Godcharles. Je discute de mon appréciation du silence et de l'odeur de la ville aux petites heures du matin ainsi que de la venue prochaine de mon ovulation qui me donne presque envie de faire l'amour. Pour sa chronique beauté, Laurence fait un grand détour et nous parle de ses totons énormes plein de gros lait chaud qui giclent sur le trottoir sans son consentement, mais qui deviennent plus petits après l'allaitement, tout ça pour nous dire qu'elle préfère maintenant avoir un petit soutien-gorge. On échange à propos de nos expériences respectives d'adolescentes ayant dû affronter les mystérieux sujets des premières brassières et des premières menstruations et on apprend que Laurence était horny au primaire. Dans le récit de ma dernière semaine, je raconte que j'ai vécu le rêve de toutes les mères trop occupées puisque mon mari était en vacances avec les enfants, ce qui m'a laissée dans un état situé entre le soulagement immense d'être libre et le désemparement de ne plus être régie par la routine familiale. Laurence enchaîne avec une chronique « parties intimes » durant laquelle on apprend l'origine du mot punani et on découvre les jeux vidéos contrôlés par le périnée. Puis on répond à une question à propos de Survivor Québec et on se demande comment on s'en sortirait dans une telle aventure.
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