Vincent Graton nous parle des gens qui savent dire au revoir

Dans cet épisode des Lève-Tôt du 18 septembre, Patrick Marsolais se confie sur sa difficulté chronique à dire non. Promettant de courir 10 km sans entraînement, il navigue entre courage, pression de sa patronne et rhume salvateur, laissant les auditeurs dans le suspense : franchira-t-il la ligne de départ? L’équipe explore aussi le lien profond entre humains et animaux, en revenant sur le deuil de Sam Breton face à la perte de son chien, et la douleur unique qui en découle. Dans une touche plus sérieuse, ils réagissent à la suspension de Jimmy Kimmel et au départ forcé de Stephen Colbert, rappelant les enjeux cruciaux de liberté d’expression. Sur un ton plus intime, Tatiana partage les défis de la vie de couple avec deux enfants à la maison, tandis que les auditeurs livrent leurs astuces pour préserver l’intimité. Le tout est entrecoupé d’astuces gourmandes avec Chef Oli et d’une réflexion sur les achats impulsifs, pour un épisode mêlant humour, émotions et réflexion sur la vie moderne.

Cet épisode explore comment nos week-ends façonnent notre semaine de travail. Isabelle révèle que beaucoup passent le samedi à ruminer et le dimanche à stresser, alors que les plus performants se déconnectent totalement. Patrick et les animatrices débattent de l’autonomie parentale lorsqu’il avoue faire le lunch de son fils au cégep, avec l’expertise de la psychoéducatrice Sarah Hamel sur culpabilité et maturité affective. Tatiana teste le ROMO pour se libérer de la pression sociale. L'équipe reçoit Ricardo qui nous présente ses recettes cultes et son futur documentaire sur l’alimentation scolaire, mêlant saveurs locales et révélations inattendues. 

Isabelle Racicot revient sur le cas troublant d’une mère ayant abandonné sa fillette de trois ans, victime d’un trouble schizo-affectif sévère. Patrick Marsolais partage avec humour son combat contre la malbouffe, tandis que Jean-Pier Gravel lit une lettre touchante à son fils, évoquant les limites et peurs des parents face au monde. Tatiana Polevoy révèle sa dépendance nocturne à la télé pour s’endormir depuis treize ans.  Entre rires, confidences et réflexions sérieuses, les animateurs explorent nos attachements, nos faiblesses et les dilemmes qui façonnent la vie familiale contemporaine, entre gravité et autodérision.