François Jacques profite de la fête des pères pour livrer un message d'amour et d'espoir aux autres papas
Aujourd’hui, c’est la fête des Pères. Et oui, on célèbre tous les papas… mais surtout ceux dont le chemin est un peu moins simple.
À toi, le père veuf, qui porte tout seul la tendresse et la fermeté. À toi, le papa monoparental qui enchaîne les lunchs, les lessives, les devoirs et les câlins du soir.
À vous deux, les papas d’une même famille, qui élevez vos enfants dans un foyer sans mère, mais pas sans amour. Vous qui offrez une stabilité, une tendresse, une rigueur et une complicité que personne n’a le droit de remettre en question. Oui, votre famille est différente, et c’est justement ce qui la rend belle.
Et à toi, le père séparé, qui doute, qui se demande s’il en fait assez, s’il est encore une référence, encore un pilier.
Tu n’es pas seul. On passe tous par là, un jour ou l’autre. Le doute fait partie du rôle. Mais tu es adéquat. Tu es bon. Tu fais de ton mieux, et ton mieux est déjà énorme.
Fais confiance à ton instinct. Cette petite voix en toi, tu la connais. Elle te parle quand tu poses la main sur une épaule qui tremble. Quand tu choisis d’écouter au lieu de réagir. Quand tu reviens frapper à la porte, même si tu ne sais pas quoi dire. Elle te guide, même dans le flou.
Quand vous passez du temps ensemble, tes enfants ne se rappelleront peut-être pas où tu étais ce week-end-là, ce que tu leur as dit cette journée-là, ou même ce que vous viviez à ce moment-là.
Mais ils vont se rappeler que tu étais là. Et c’est tout ce qui compte.
-François