Geneviève Pettersen soulève un point important sur l'impact des titres médiatiques.
Elle dénonce comment des mots choisis peuvent orienter l’opinion publique, particulièrement dans les cas sensibles comme les agressions sexuelles.
Son analyse sur les choix éditoriaux des médias et leur influence sur la perception des victimes est percutante. Un débat sur la responsabilité des médias et l’encadrement des contre-interrogatoires dans ces affaires s’engage.